C’ÉTAIT COMME GAGNER LES JEUX OLYMPIQUES!

Rédigé par Paul Dore

Êtes-vous membre de la communauté de Patinage Canada et pensez-vous à présenter une demande pour le Fonds de mentorat David Dore? Peut-être que vous êtes un juge, un entraîneur ou un administrateur de club et un ami ou un collègue vous a suggéré d’y jeter un coup d’œil? Peut-être que la demande semble un peu intimidante et vous n’êtes pas certain que ceci vous convienne?

Nous nous sommes adressés à Val Masek pour lui demander de nous parler de ses expériences comme bénéficiaire du Fonds de mentorat David Dore de 2018. Le Fonds s’adresse à un large éventail de membres de Patinage Canada – patineurs, entraîneurs, bénévoles et administrateurs – et a pour but de donner à une personne l’occasion de perfectionner ses compétences en leadership, dans le but d’accroître la capacité de leadership de Patinage Canada.

Le bénéficiaire est une personne qui reconnaît la grande contribution de mon père dans l’édification du sport du patinage artistique au Canada et comprend que cet héritage est le fruit de travail acharné, de prise de risques, d’engagement, de passion et de dévouement. Dans les nombreux postes qu’il a occupés, mon père a vivement apprécié les rôles importants des bénévoles, comme Val, dans notre sport.

La demande de Val m’a rappelé la façon dont mon père aurait pu, lui-même, en rédiger une : de manière méthodique et avant-gardiste, avec le souci du détail. Président du Club de patinage Prince of Wales de St. John’s, à Terre-Neuve, Val est impliqué dans le sport depuis plusieurs années.

Une grande partie du Fonds de mentorat David Dore consiste à offrir au bénéficiaire l’occasion d’assister au Sommet des glaces de Patinage Canada, où il aura l’occasion d’aider à animer un atelier, d’observer un chef de file de Patinage Canada et de participer à de nombreux événements durant la fin de semaine.

Au début du Sommet de l’an dernier, Val était excité de faire part de ses expériences dans la partie la plus à l’est du Canada et de son accueil dans la grande famille de Patinage Canada. « L’occasion que m’a offerte le Fonds de mentorat David Dore a amplifié cette exceptionnelle expérience au-delà des mots », a déclaré Val. « Au Sommet, le mouvement de Patinage Canada vers un plus grand engagement, une gouvernance plus efficace et une excellence globale dans notre travail comme bénévoles était vraiment exceptionnel. »

L’occasion d’assister au Sommet de Patinage Canada est une chance qui a un énorme impact sur le bénéficiaire et sa communauté locale de patinage. Ce n’est pas seulement le bénéficiaire qui tire avantage du vaste savoir organisationnel sur place, au Sommet. En outre, il peut en faire profiter sa propre communauté locale de patinage. « Mes expériences m’ont laissé une profonde impression de la forte communauté de Patinage Canada », a ajouté Val. « Les objectifs du Fonds, étroitement liés à l’esprit du travail historique de David Dore, étaient en montre au Sommet. C’était comme gagner les Jeux olympiques mêmes! »

En plus d’assister au Sommet, le bénéficiaire est jumelé à des mentors qui possèdent une expertise expressément liée à ses objectifs. Le temps que passe le bénéficiaire au Sommet est maximisé, afin d’offrir le plus grand nombre possible d’occasions d’apprentissage. « J’ai eu le privilège de rencontrer plusieurs grands mentors et d’apprendre de leurs expériences », a soutenu Val. « Je pouvais aussi partager certaines de nos situations souvent uniques dans la section de Terre‑Neuve‑et‑Labrador. Diriger un club comptant 1 200 membres exige un énorme sacrifice de temps et représente un défi pour tout bénévole. Grâce à mon mentor, j’ai été ravi qu’on m’encourage dans mon attitude à l’égard de l’introduction de nouvelles technologies pour améliorer nos méthodes d’entraînement et les opérations du club. »

Pour moi, le meilleur moyen d’apprentissage est le récit et l’établissement de relations avec d’autres, par le biais d’expériences personnelles. Une des présentations a tout particulièrement trouvé un écho chez Val : « William Bridel, Ph. D., a prononcé une allocution très émouvante, visant l’inclusion dans une plus large mesure et le soutien des membres LGBTQI2S dans nos programmes. Dans cet esprit, j’ai invité Eric Radford et son partenaire, Luis Fenero, à animer un séminaire sur le développement des patineurs avec nos jeunes. »

Val a fait part de quelques réflexions finales sur les avantages du Fonds et a transmis un message à ceux qui songent à faire une demande : « Le Fonds a permis à notre club d’être reconnu dans la plus grande communauté de Patinage Canada. Il nous a permis de puiser dans les connaissances et les vastes expériences des clubs, des bénévoles et des plus grands athlètes qui sont couronnés de succès au Canada. Je vois mon travail comme un élément d’un plus grand tableau, guidé par les principes de M. Dore de l’ardeur au travail, de l’engagement et du dévouement au service de la communauté. Je suis profondément touché et honoré de faire partie de l’héritage de M. Dore et je recommande vivement d’adresser une demande au Fonds. »

Après avoir lu paroles inspirantes de Val, faites dès aujourd’hui une demande pour le Fonds de mentorat David Dore.

LE PATINAGE, C’EST PLUS QU’UN SPORT, C’EST UNE COMMUNAUTÉ

Rédigé par Paul Dore

Le patinage, je l’ai dans le sang. Il y a exactement trente ans, j’ai lacé ma première paire de patins. Ce jour-là, je suis tombé et je me suis frappé la tête, causant une bosse grosse comme un œuf au-dessus de mon œil gauche (le port du casque n’était pas encore exigé comme il l’est aujourd’hui). Je ne ressentais pas vraiment la douleur parce que je pensais seulement à la prochaine fois que je pourrais aller sur la glace.

Nous sommes chanceux que nos hivers canadiens nous donnent un grand accès aux patinoires extérieures. J’habite à Toronto et presque tous les parcs urbains comptent de telles patinoires. À ce jour, je me rends encore à ma patinoire locale, je brave le froid et je m’élance sur la glace. L’exercice est un excellent bienfait, mais j’y vais aussi pour d’autres raisons.

La patinoire est là où je demande conseil à mon père.

Bon nombre de fois, quand je devais prendre une importante décision, j’appelais mon père. Nous discutions de la question, explorions mes différentes options et parvenions toujours à un plan. Ceux d’entre vous qui connaissaient mon père savent qu’il aimait planifier. Nous n’étions pas toujours d’accord, mais nous respections les décisions de l’un l’autre. Quoi qu’il advienne, nous nous appuierions mutuellement.

Mon père est décédé depuis maintenant trois ans. Pendant un certain temps, je me sentais perdu. Ces conversations me manquaient terriblement et, parfois, il m’était difficile de voir comment aller de l’avant. Puis un jour, je me suis rendu compte que je pouvais lui parler. Nous gardons tous nos proches dans nos cœurs et avons des endroits où nous pouvons aller pour nous rappeler d’eux. Pour moi, c’est la patinoire.

Le patinage artistique, c’est bien plus qu’un sport, c’est une communauté, une famille. Quand mon père a commencé à patiner, durant son enfance, pour aider son corps à se réadapter pendant qu’il se rétablissait de la polio, il a amorcé un parcours qui durerait toute sa vie. En tant que concurrent, juge, bénévole, administrateur et délégué de l’Union internationale de patinage, il ne fait aucun doute que mon père était impliqué dans tous les aspects du sport. Il a reconnu que le patinage est une communauté de personnes qui participent à quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes.

Dans l’exercice de ses fonctions comme président de Patinage Canada (auparavant l’Association canadienne de patinage artistique), il était toujours important pour lui de visiter chaque section et autant de clubs qu’il pouvait intégrer à son emploi du temps. Il comprenait la valeur d’établir un rapport entre le siège social et tous les clubs et patineurs du pays. De même, lorsqu’il a exercé son influence sur la scène internationale, le développement du sport en dehors des pays traditionnels déjà forts en patinage était un but important pour lui.

Il croyait au pouvoir du sport et je pense que ceci venait de son expérience personnelle. Il reconnaissait et appréciait comment le patinage avait enrichi sa vie. À bien des égards, son véritable héritage était de créer des occasions pour d’autres de vivre des expériences similaires.

C’est l’une des principales raisons pour lesquelles je suis si fier de mon engagement relativement au Fonds de mentorat David Dore de Patinage Canada. Je crois que c’est un prolongement de son travail. Le but du fonds est de donner une occasion à un entraîneur, un officiel, un bénévole ou un administrateur au niveau du club, de la section ou à l’échelon national de Patinage Canada de perfectionner ses compétences en leadership. Le bénéficiaire assiste au Sommet des glaces et est jumelé avec des mentors.

Récemment, quelqu’un en dehors de la communauté du patinage m’a demandé ce que je croyais que le patinage m’avait appris. J’ai dû y penser parce que la réponse à cette question n’est pas courte. J’ai appris comment être responsable de moi-même, comment me gérer et gérer mon temps, ce que cela signifie de s’engager envers quelque chose plus grand que soi, comment établir des buts – la liste est longue. Il s’agit de très bons et de vrais éléments. Cependant, je pense que la plus grande leçon est venue de mon père. Ce n’est pas nécessairement quelque chose qu’il m’avait dit. C’était évident dans la façon dont il vivait sa vie. Chercher cette chose – quelle qu’elle soit – qu’on est censé faire. Quelque chose qui passionne et donne un but. Ceux qui sont assez chanceux d’en faire la découverte, s’y consacrent tout entier – attention, talents et émotions. Le Fonds de mentorat vise à attiser la passion d’une personne et à lui permettre de trouver sa place dans la communauté du patinage.

Mais encore, à différents moments de nos vies, nous avons tous besoin de conseils, d’orientation et de mentorat. Quand j’en ai besoin, je vais à la patinoire. Je pense en moi‑même, « bon, voici la situation… » Je peux entendre sa voix comme je glisse sur la glace. Je peux le voir, appuyé sur la bande, qui me regarde. Je peux le sentir dans mon cœur.

Pour plus de renseignements sur le Fonds de mentorat David Dore, regardez cette vidéo d’anciens bénéficiaires faisant part de leur expérience au Sommet des glaces 2017. Si vous êtes l’un de ces chefs de file, des renseignements supplémentaires et le formulaire de demande se trouvent au lien ci-dessous. FAITES UNE DEMANDE AUJOURD’HUI!

Patinage Canada attristé par le décès de la pionnière du patinage Billie Mitchell

OTTAWA (ONT.) – Patinage Canada est peiné d’apprendre le décès de la bien-aimée Billie Mitchell, membre du Temple de la renommée. Elle est décédée à l’âge de 103 ans, le mercredi 13 février 2019. Originaire de Vancouver, Mme Mitchell a ouvert la voie au leadership féminin dans le sport et s’est dévouée à l’avancement du patinage artistique tout au long de sa vie.

Billie Mitchell était une légende du patinage artistique canadien, une avant-gardiste ayant à son actif un certain nombre de « premières » dans l’organisation. Elle fut la première femme membre du conseil d’administration de Patinage Canada, à titre de présidente de section en 1960 et, en 1976, elle est devenue la première femme présidente de Patinage Canada.

«Notre cœur est lourd comme une chef de file aussi influente de notre sport nous a quitté. Billie a contribué à façonner le paysage du patinage artistique canadien et a ouvrir la voie aux femmes qui ont suivi ses traces », a déclaré Leanna Caron, présidente de Patinage Canada. « Elle était une vraie pionnière et nous sommes reconnaissants pour toutes les innovations qu’elle a apportées à notre sport et pour son dévouement au bénévolat. Patinage Canada transmet ses plus sincères condoléances à la famille et aux amis de Billie. »

Mme Mitchell a joué un rôle déterminant dans le succès de la campagne pour la tenue, à Vancouver, des Championnats du monde de patinage artistique de 1960. Au cours de son mandat comme présidente, elle a institué le défilé des champions, pour la première fois aux Championnats canadiens de patinage artistique de 1973. En 1996, elle a été intronisée au Temple de la renommée de Patinage Canada en tant que bâtisseuse et, en 1998, elle est entrée au BC Sports Hall of Fame, aussi en tant que bâtisseuse.

Le legs de Mme Mitchell au patinage artistique est célébré chaque année, au Sommet des glaces de Patinage Canada, durant le banquet, où le Prix Billie Mitchell est décerné à un membre du conseil d’administration de Patinage Canada, pour ses contributions exceptionnelles tout au long de l’année.

Mme Mitchell manquera profondément à la communauté du patinage. Patinage Canada offre ses plus profondes condoléances et ses prières aux parents et aux amis de Billie.

Profil d’athlète : Piper Gilles et Paul Poirier

Piper Gilles

Q : Quel est le meilleur conseil qu’on t’a donné?
Piper : Ne change pas la personne

Q : Qui est ta plus grande motivation?
Piper : Ma mère

Q : De quelle célébrité es-tu éprise?
Piper : Chris Hemsworth

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Piper : Les gens qui ne remettent pas le bouchon sur le tube de dentifrice

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle?
Piper : Regina George

Paul Poirier

Q : Quelle est ta chanson préférée pour te mettre en train en vue de l’entraînement ou d’une compétition?
Paul : Je n’ai pas vraiment de chanson préférée pour me mettre en train, mais durant nos deux premières saisons, j’envoyais à Piper un lien à Blitzkrieg Bop, avant chaque compétition.

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Paul : Les bibliothèques!

Q : Quel est ton émoji favori?
Paul : 🤡

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Paul : Quand les gens s’attendent à ce que les autres fassent tout pour eux.

Q : Quelle serait la chanson thème de ta vie?
Paul : You Learn, par Alanis Morissette. Aussi, la musique d’Annie’s Edges au son de laquelle j’ai fait trop de poussées-élans beaucoup trop de fois.

Profil d’athlète : Keegan Messing

Keegan Messing

Q : Quel est ton émoji favori?
Keegan : 🤠

Q : Si tu n’étais pas un patineur artistique, quel sport pratiquerais-tu?
Keegan : Le ski acrobatique, le ski sur bosses ou la gymnastique

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Keegan : Les mauvais conducteurs

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Keegan : Croque-mou, du film Dragons, parce que ce serait superbe de monter sur un dragon

Q : Quelle serait la chanson thème de ta vie?
Keegan : Simple Man, par Lynyrd Skynyrd

Profil d’athlète : Gabrielle Daleman

Gabrielle Daleman

Q : Quel est le compte de média social que tu aimes le plus suivre?
Gabby : @selenagomez

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Gabby : Milan, en Italie. J’aime la mode, la culture et l’architecture de cette ville.

Q : De quelle célébrité es-tu éprise?
Gabby : Shawn Mendes

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Gabby : Toutes les princesses de Disney.

Q : Quel est ton émoji favori?
Gabby : 🥀

Profil d’athlète : Nicolas Nadeau

Nicolas Nadeau

Q : Quel est le meilleur conseil qu’on t’a donné?
Nicolas : Si tu ne le sais pas, cherche-le sur Google! (ma sœur qui m’aidait à faire mes devoirs)

Q : Qu’est-ce que tu aimerais que les gens se rappellent à ton sujet?
Nicolas : Le gars qu’on a du plaisir à regarder sur la glace!

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Nicolas : Le froid pendant l’entraînement sur glace, l’hiver, à ma patinoire. Le gars qui travaille là laisse la porte de garage ouverte pendant ce qui semble être une éternité.

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Nicolas : Rick, de l’émission Rick and Morty! Pour que je puisse lui demander «pourquoi?».

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Nicolas : Je n’ai jamais été en Californie, mais je suis certain que ce serait mon préféré en raison de tous les beaux endroits pour le surf et le style de vie.

Profil d’athlète : Kirsten Moore-Towers et Michael Marinaro

Kirsten Moore-Towers

Q : Quel est le compte de média social que tu aimes le plus suivre?
Kirsten : @thebucketlistfamily

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Kirsten : Vancouver. Les montagnes et l’océan me donnent un sentiment d’euphorie (mêmequand il pleut)

Q : Quelest ton émoji favori?
Kirsten : ‍🤷🏼‍ 👏 🎉

Q : De quelle célébritées-tu éprise?
Kirsten : Zac Efron, Channing Tatum

Q : Si tu n’étais pas une patineuse artistique, quel sport pratiquerais-tu?
Kirsten : Quart-arrière de football. Je plaisante. À vrai dire, je ne suis pas très habile dans aucun autre sport et je trouve toujours difficile de répondre àcette question.

Michael Marinaro

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Michael : L’Italie – en raison de la nourriture

Q : De quelle célébrité es-tu épris?
Michael : Hilary Duff

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Michael : Ne pas pouvoir virer à droite aux feux rouges à Montréal.

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Michael : Rocky Balboa

Q : Si tu n’étais pas un patineur artistique, quel sport pratiquerais-tu?
Michael : Le golf

Profil d’athlète : Kaitlyn Weaver et Andrew Poje

Kaitlyn Weaver

Q. Quelle est ta chanson préférée pour te mettre en train en vue de l’entraînement ou d’une compétition?
Kaitlyn : La chanson que je préfère pour me mettre en train pour une compétition dépend vraiment de mon humeur. Des chansons que j’écoute toujours sont Moment 4 Life, par Nicki Minaj et Shoop, de Salt n Pepa.

Q. Quelle personne dans le monde du sport, passé ou présent, aimerais-tu inviter à souper et pourquoi?
Kaitlyn : J’aimerais inviter Billie Jean King. Je suis très inspirée par sa bravoure et je serais extrêmement touchée de célébrer avec elle!

Q. Quel est le meilleur conseil qu’on t’a donné?
Kaitlyn : Depuis mon enfance, ma mère m’a toujours dit de faire de mon mieux, de tenir à ce en quoi je crois et de ne pas m’inquiéter de ce que les gens pensent, parce qu’en fin de compte ça en vaudra la peine. Elle avait raison!

Q. Quel est le compte de média social que tu aimes le plus suivre?
Kaitlyn : Mon compte préféré de média social est @elephantjournal. J’aime l’art, l’écriture et l’inspiration et ce compte en regorge.

Q. Qui ou quoi est ta plus grande motivation?
Kaitlyn : Mon passé et mon avenir sont mes plus grandes motivations. Mon passé, parce que je peux regarder en arrière et toujours savoir que je peux faire mieux si j’en ai à nouveau l’occasion. Je veux toujours être meilleure que je l’étais hier ou au dernier événement. Mon avenir, car je sais où je veux aller (dans le patinage et dans la vie) et je suis inspirée à y parvenir!

Andrew Poje

Q. Quelle est ta chanson préférée pour te mettre en train en vue de l’entraînement ou d’une compétition?
Andrew : J’aime écouter Black Betty, par Ram Jam, durant mon échauffement.

Q. Quelle personne dans le monde du sport, passé ou présent, aimerais-tu inviter à souper et pourquoi?
Andrew : J’aimerais inviter Muhammad Ali et l’entendre raconter son cheminement comme athlète, symbole et légende. Essayer de comprendre de son point de vue ce qu’il faut pour réussir et ce qu’il définit comme réussite.

Q. Quel est le meilleur conseil qu’on t’a donné?
Andrew : J’ai appris durant ma carrière qu’il est important d’essayer d’accomplir seulement de petites choses tous les jours. Ces petits succès deviendront quelque chose qui sera indéniable au bout du compte.

Q. Quel est le compte de média social que tu aimes le plus suivre?
Andrew : Je ne suis pas beaucoup les médias sociaux, mais j’aime ce qu’affiche @therock. Il semble toujours voir le côté drôle ou positif dans tout.

Q. Qui ou quoi est ta plus grande motivation?
Andrew : Ma plus grande motivation est ma famille. Elle est la raison pour laquelle je suis parvenu où j’en suis. Elle m’appuie dans mes efforts et ma poursuite du bonheur.

Profil d’athlète : Roman Sadovksy

Roman Sadovksy

Q : Quelle est ta chanson préférée pour te mettre en train en vue de l’entraînement ou d’une compétition?
Roman : Lose Yourself, par Eminem

Q : Quelle personne dans le monde du sport, passé ou présent, aimerais-tu inviter à souper et pourquoi?
Roman : Ulrich Salchow, parce qu’il a inventé mon saut préféré et j’aimerais le remercier.

Q : Quel est le meilleur conseil qu’on t’a donné?
Roman : FAIS-LE!!!

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Roman : Chez moi. Bien que ce soit là où je vis, je passe à peine du temps à la maison et c’est le meilleur endroit pour se détendre.

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Roman : Les patineurs de Patinage Plus qui marchent sur un plancher en béton avec leurs patins, sans protège-lames.

Profil d’athlète : Evelyn Walsh et Trennt Michaud

Evelyn Walsh

Q : Quel est le compte de média social que tu aimes le plus suivre?
Evelyn : @theellenshow sur Instagram, parce qu’elle affiche toujours des mèmes drôles ou des blagues qui m’aident à voir la vie avec plus d’enjouement.

Q : De quelle célébrité es-tu éprise?
Evelyn : Sam Smith, bien entendu.

Q : Si tu n’étais pas une patineuse artistique, quel sport pratiquerais-tu?
Evelyn : Je serais très probablement une joueuse de hockey, parce que j’ai suivi le programme Patinage Plus dans le but d’améliorer mes habiletés de patinage, ce qui a fait boule de neige à partir de là.

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Evelyn : Lorsque Trennt claque ses talons durant un cours sur les levées, alors qu’il sait que ça « m’agace », mais il ajoute un moment de détente comique à la journée.

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Evelyn : J’aimerais rencontrer Tracy Turnblad, du film Hairspray. Elle est plutôt un paria dans le film, mais malgré ses différences, elle a une énergie très positive et amusante, qui touche tous ceux qui l’entourent.

Trennt Michaud

Q : Quel est ton endroit préféré dans le monde entier et pourquoi?
Trennt : Oberstdorf, en Allemagne, une magnifique et charmante ville, qui fait partie des Alpes allemandes et qu’on dirait sortie d’un conte de fées, et où de superbes vaches se promènent dans les rues tous les jours.

Q : Quel est ton émoji favori?
Trennt :

Q : De quelle célébrité es-tu épris?
Trennt : Emma Watson. Ryan Reynolds, si je pourrais être lui.

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Trennt : Les personnes qui utilisent leur doigt comme couteau pour prendre des aliments.

Q : Quelle serait la chanson thème de ta vie?
Trennt : I’m Still a Guy, par Brad Paisley

Profil d’athlète : Nam Nguyen

Nam Nguyen

Q : Qui ou quoi est ta plus grande motivation?
Nam : Le sentiment de satisfaction après avoir terminé quelque chose par moi-même.

Q : De quelle célébrité es-tu épris?
Nam : Anna Kendrick

Q : Qu’est-ce que tu aimerais que les gens se rappellent à ton sujet?
Nam : J’ai touché la main de Drake.

Q : Qu’est-ce que tu détestes le plus?
Nam : Les conducteurs qui conduisent trop lentement dans la voie de gauche, qui sert à dépasser les autres voitures.

Q : Quel personnage fictif aimerais-tu rencontrer dans la vie réelle et pourquoi?
Nam : Harry Potter. J’aimerais qu’il m’apprenne comment vaincre un basilic.